En Europe et dans le reste du monde, nous sommes habitués à un régime alimentaire particulier. Celui-ci est très souvent conditionné par la quantité et la qualité des produits disponibles sur le territoire, bien que ce soit plus simple aujourd’hui d’avoir accès aux épices et aliments d’ailleurs. Les habitudes alimentaires d’autrefois continuent de se transmettre aux nouvelles générations, et les nouvelles recettes viennent à leur tour enrichir la gastronomie. En général, les plats sont limitées aux saveurs sucrés et salés, qui sont d’ailleurs très agréables à la dégustation. Le goût n’est que très peu sollicité, d’où l’énorme différence avec la cuisine asiatique, qui elle met en avant plusieurs autres goûts à travers ses recettes.
Quelques spécialités asiatiques
En Asie généralement, les cuisiniers savent associer 5 goûts pas toujours habituels, à savoir le sucré, le salé, l’amer, l’acide et le piquant. Il vous faudra donc un certain temps pour vous habituer à ces nouveaux mélanges de saveur typique des plats asiatique. La cuisine thaïlandaise, dite très populaire dans le monde, a pour ingrédient incontournables le riz et le piment. Cette cuisine met en avant les épices, les arômes forts et respecte la légèreté des plats. Aussi, elle veille sur la précision, l’équilibre et la diversification des ingrédients. En chine par contre, on arrive difficilement à se passer de vinaigre de riz et de sauce soja. En plus d’être de grands consommateurs de légumes, de nouilles et de riz, les chinois intègrent majoritairement dans leurs plats des condiments comme le poivre blanc, l’ail, le gingembre, l’huile de sésame et l’échalote pour ne citer que ceux là. La cuisine indienne aussi utilise beaucoup d’épices, avec un plus les herbes, légumes et fruits. Bien que les les cultures, et le climat soit diversifié dans le même pays, cette alimentation végétarienne qui concerne la majeure partie de la population vient plutôt de leur grand respect et de l’influence de la tradition, ainsi que la réligion.